Mudweiser y exhibe un rock « stoner » percutant aussi sale et gras que son nom le laisse supposer. Avec « The call », en 9 titres et 35 minutes, on entend Mudweiser renouer avec délectation à ses basiques . Dans des compos plus agressives et un son plus crasseux que jamais s’enchainent des riffs à s’en briser la nuque, enflammés par le groove massif du basse / batterie bien huilé de Jay et Xav. À la voix, tel un prédicateur perché aux dérives blues et heavy, Reuno y incarne des textes ou s’entremêlent le roman noir, les films de série B et les expériences inavouables.
Mudweiser y exhibe un rock « stoner » percutant aussi sale et gras que son nom le laisse supposer. Avec « The call », en 9 titres et 35 minutes, on entend Mudweiser renouer avec délectation à ses basiques . Dans des compos plus agressives et un son plus crasseux que jamais s’enchainent des riffs à s’en briser la nuque, enflammés par le groove massif du basse / batterie bien huilé de Jay et Xav. À la voix, tel un prédicateur perché aux dérives blues et heavy, Reuno y incarne des textes ou s’entremêlent le roman noir, les films de série B et les expériences inavouables.